Derrière la plume de la Relectrice ad hoc  se cache une amoureuse des mots, des sciences
et de plein d'autres choses.

 

       Titulaire d'un doctorat en écologie scientifique, j'ai toujours été une lectrice passionnée, une gourmande des belles phrases et une adepte d'une orthographe et d'une grammaire soignées. Mes écrits (rapports de stage, manuscrit de thèse, articles de presse...) m'ont valu de nombreux compliments, car ils étaient respectueux de la langue française et de ses subtilités.

     Pendant mon parcours universitaire, j'ai fréquemment été sollicitée par des étudiants (français et internationaux), des jeunes chercheurs et des chercheurs jeunes au siècle dernier pour relire leurs documents et y débusquer les fautes d'orthographe, de grammaire et de typographie. C'est ce qui m'a incitée à créer la Relectrice ad hoc.

 

        Pour être une relectrice efficace et légitime, il ne suffit pas de « savoir parler et écrire le français correctement ».  Il faut aussi connaître les bons outils, se former et se remettre en question en permanence. Ça tombe bien ! ma formation de chercheuse me l'a appris.

        Avant de me lancer dans cette passionnante aventure, j'ai lu, relu et lu une nouvelle fois les précis de grammaire, d'orthographe, de conjugaison, j'ai ajouté à Mes favoris les sites d'orthographe des institutions compétentes et j'ai passé plusieurs tests de français. Depuis, je garde en permanence sur les genoux les dictionnaires (dans leur version la plus récente). Comme cela ne suffit pas, je lis beaucoup d'ouvrages et de journaux (réputés pour leur sérieux) et fais régulièrement des exercices pour tester mon niveau (et mettre à jour mes connaissances).

 

Se remettre en question est capital dans ce métier. Cela évite de laisser la routine s'installer, ce qui conduirait à passer à côté des fautes.

 

        Au  fil des années, le panel de mes clients s'est enrichi (j'en profite pour les remercier de leur confiance sans cesse renouvelée), et j'ai aujourd'hui le privilège de relire des documents et des ouvrages aux thématiques toujours plus variées et captivantes. 

 

Explorer et développer ses connaissances et ses compétences est un autre aspect incontournable de ce métier. On ne s'ennuie jamais ! 

 

        Enfin, je considère qu'aucune relecture n'est semblable aux précédentes. Chacune d'entre elles est une rencontre : avec une thématique, avec un auteur, avec un style et surtout avec l'histoire de la genèse du document. Discuter avec l'auteur, comprendre son projet, l'accompagner dans la préparation du document est un autre privilège de ce métier. En tant que relectrice, je suis parfois la première personne extérieure à découvrir le contenu, et c'est un honneur dont je ne suis pas prête de me lasser !

 

Chaque jour est une aventure ; chaque relecture est une découverte...

 


Pourquoi « la Relectrice ad hoc  » ?

 

        La locution latine ad hoc  signifie « qui convient ». Je suis la relectrice qui convient aux étudiants et aux chercheurs, car, pour être passée par la case doctorat et connaissant tous les sacrifices que cela impose, je suis pleinement consciente de l'importance que revêt le manuscrit de thèse, document qui servira pendant des années de carte de visite.

        Je suis aussi ad hoc pour toutes les personnes soucieuses du qu'en-dira-t-on quant à la qualité de leurs écrits, car je passe de très loooooongues minutes à me relire avant d'envoyer un e-mail, un courrier ou un article, de peur qu'une coquille ne vienne entacher mon sérieux.

 

 

Si vous êtes convaincu.e.s, il ne me reste plus qu'à vous dire à bientôt !